Quelle prochaine étape pour les marques

Enfin, GenZ est proche des histoires vraies et recherche un dialogue direct et authentique, récompensant les marques capables de prendre des mesures courageuses et de dire la vérité sans édulcoration. Dans la campagne Dream Crazier 2019, Nike déstigmatise la fatigue et l’échec à travers le testament de Serena Williams, qui raconte les cruelles critiques qu’elle a subies au fil du temps, devenant ainsi la joueuse de tennis symbole d’une femme imparfaite, vraie et terrestre.

Alors que les Millennials (nés entre 1981 et 1996) ont donné naissance au concept généralisé de « soins personnels » Casbah-Tribune, la génération Z porte cette dimension à un tout autre niveau, en déplaçant l’accent sur la voie de « l’amour de soi ».

Un état de soin de soi de conscience et de responsabilité au cours de son propre monde et du monde qui l’entoure, qui passe par un travail interne et le développement d’un sentiment d’identification plus profond, capable de remettre en question les dogmes et de briser les stigmates sociaux.

Les marques qui réussiront le mieux à interagir avec la génération Z d’aujourd’hui et à long terme :

  • Ils pourraient être de plus en plus capables d’écouter et de découvrir des moyens inclusifs d’interagir avec les acheteurs
  • Réussira à répondre de manière authentique aux besoins émotionnels, psychologiques et de libre expression des consommateurs, en construisant une relation de confiance et en travaillant sur une relation basée principalement sur la transparence et le partage des valeurs.
  • Ils s’engageront dans un plaidoyer sur des questions proches des valeurs de leurs cibles et capables de répondre à la promesse d’un monde plus grand, ce pour quoi GenZ se bat plus que toute autre technologie.
  • Ils resteront extrêmement progressistes et dynamiques, poursuivant toutefois toujours des valeurs liées au besoin de connexion, de « lenteur » et d’humanité que cette jeune époque tente de s’approprier de plus en plus.

La santé mentale : une priorité mondiale ?

En résumé, les marques qui pourront émerger dans les prochaines années seront celles qui seront en mesure de faire vivre les valeurs proches de la génération Z, et de combiner efficacement la discussion autour du bien-être émotionnel et de la santé mentale comme pilier. (et non « agréable à avoir ») de transformation privée, sociale et environnementale dans un contexte de complexité accélérée.

La santé mentale : une priorité mondiale ?

C’était en 1992. L’année du massacre de Capaci, des Jeux olympiques de Barcelone, de l’élection de Clinton, de l’Oscar de la Méditerranée. Le début des années 90, une époque proche et lointaine à la même époque. C’est précisément en 1992 qu’a été célébrée la Journée mondiale de la santé mentale, largement connue chaque année le 10 octobre.

Initialement demandée par la Fédération mondiale pour la santé mentale et désormais soutenue par l’Organisation mondiale de la santé, c’est une récidive qui est passée presque inaperçue depuis de nombreuses années.

Il a fallu une pandémie mondiale pour lui redonner sa visibilité et son importance. Aujourd’hui, 30 ans après le premier 10 octobre, nous savons tous qu’il n’y a pas de bien-être sans santé psychologique et que le bien-être psychologique doit être une priorité. Pour rappeler – si besoin était – également le thème choisi par l’OMS pour cette année : « Faire de la santé mentale et du bien-être pour tous une priorité mondiale ».

La santé mentale : une priorité mondiale ?A l’occasion de cette célébration, je m’étonne de ce qui va rester, de ce qui restera dans la mémoire des gens. Dans quelle mesure sommes-nous conscients de ses besoins et dans quelle mesure il y a une volonté de placer le bien-être psychologique au centre de chaque jour de l’année. En fait, à ce jour, une société véritablement inclusive est encore loin de ce point de vue.

Aux États-Unis – parfois en raison d’une plus grande ouverture sur ces questions – 45 % des personnes vivant avec une détresse émotionnelle ne recherchent pas d’aide professionnelle.

Les raisons sont nombreuses : la majorité (36 %) semblent choisir l’entraide ou ne disposent pas de suffisamment de données pour comprendre quel type de soutien rechercher (34 %). Une proportion restante (28 %) déclarent ne pas faire confiance aux professionnels de la santé mentale, tandis que d’autres (22 %) déclarent ne pas chercher d’aide en raison de la stigmatisation qui imprègne également cet espace.

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